Pierre-Henri Arnstam avec les élèves de première et terminale./Photo DDM repro
L'ensemble des participants tiennent à le remercier d'avoir si aimablement répondu à leur sollicitation et de participer ainsi à l'enrichissement culturel des élèves, les aidant par là-même à mieux préparer le concours Sciences-Po et leur orientation.
Ce débat était d'autant plus d'actualité que la «Révolution de Jasmin» en Tunisie vient de libérer la parole en retrouvant les bases de la démocratie.
A leur tour, sans doute, les Tunisiens s'interrogeront sur ce «pouvoir des médias» sevrés pendant de trop longues années d'une information libre, ils auront à leur tour cette question essentielle à se poser, «jusqu'où peut aller le pouvoir des médias ? Représentent-ils un atout ou un danger pour la démocratie ?».Les élèves membres du partenariat avec l'Institut d'études politiques de Bordeaux n'en ont pas encore terminé avec les médias et la télévision en particulier.