Haute-Savoie
Cantine. | Max PPP
En effet, alors que les réformes sur le système éducatif Française ne cessent de se bousculer (semaine de 4 jours, puis 5 jours, puis 4 jours et demi, etc) et que l'année scolaire vient de se terminer sur fond de polémiques liées au baccalauréat, ce sont cette fois les préparatifs de la prochaine année scolaire qui défrayent la chronique médiatique.
Il y a quelques jours, lors du conseil municipal de la ville d'Epone dans les Yvelines, une décision plus que inégalitaire était prise. les élus ont décidé de donner la priorité de restauration aux enfants de parents actifs. En clair : si la cantine est remplie et que vous êtes au chômage, votre enfant à toute les chances de devoir se serrer la ceinture.
Cela signifiant à terme que les familles composées d'un seul parent actif ou de deux parents chômeurs, ne pourront plus avoir la possibilité de laisser leurs enfants manger à la cantine le midi. Une décision qui a fait polémique dans cette ville de 6.000 habitants.
Après Epone, c'est au tour de Thonon-les-Bains de prendre la même décision administrative. Une décision qui n'a pas manqué de provoquer le courroux des parents d'élèves, mais qui a été balayée d'un revers de manche par le maire de la ville. Ce dernier assure mettre en application une mesure préventive impérative en réponse au manque de place dans les restaurants scolaires.
Il faut rappeler qu'en France, il existe (ne serait ce que dans les établissements scolaires des classes primaires), pas moins de 53.000 restaurants scolaires à la charge des municipalités.
Il y a quelques jours, lors du conseil municipal de la ville d'Epone dans les Yvelines, une décision plus que inégalitaire était prise. les élus ont décidé de donner la priorité de restauration aux enfants de parents actifs. En clair : si la cantine est remplie et que vous êtes au chômage, votre enfant à toute les chances de devoir se serrer la ceinture.
Cela signifiant à terme que les familles composées d'un seul parent actif ou de deux parents chômeurs, ne pourront plus avoir la possibilité de laisser leurs enfants manger à la cantine le midi. Une décision qui a fait polémique dans cette ville de 6.000 habitants.
Après Epone, c'est au tour de Thonon-les-Bains de prendre la même décision administrative. Une décision qui n'a pas manqué de provoquer le courroux des parents d'élèves, mais qui a été balayée d'un revers de manche par le maire de la ville. Ce dernier assure mettre en application une mesure préventive impérative en réponse au manque de place dans les restaurants scolaires.
Il faut rappeler qu'en France, il existe (ne serait ce que dans les établissements scolaires des classes primaires), pas moins de 53.000 restaurants scolaires à la charge des municipalités.
