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mardi 4 octobre 2011

Inconnu, il veut se présenter à la présidentielle



Inconnu, il veut se présenter à la présidentielle

L'histoire du jour

Alban Ha	îk, de St-Ybars./Photo M.Buc.
Citoyen lambda de 48 ans demeurant à Saint Ybars depuis 8 ans, il veut se présenter aux élections présidentielles de 2012. Farfelu ou illuminé, Alban Haïk, en a cure des sourires de ses compatriotes. Pour lui, c'est du sérieux et son programme il le bâtit sur son expérience propre. Il dit qu'il apporte la solution à tous les soucis des Français. « C'est un programme qui peut se réaliser sur deux mandats. » 10 ans donc pour tout mettre à plat et repartir à zéro. Zéro dette, zéro tracas. Autodidacte dans le monde des affaires, sa famille lui a donné une jeunesse dorée qui s'est écroulée en même temps qu'une faillite subite alors qu'il avait 33 ans. Depuis, outre quelque temps difficiles, il a appris à se débrouiller seul et surtout à réfléchir sur le monde et son fonctionnement. « J'ai envie de lancer le débat sur les problèmes politiques et surtout économiques ! Je ne suis ni de gauche, ni de droite… je rassemble ! »
Alban Ha îk, de St-Ybars./Photo M.Buc.

Reste à trouver des signatures

Son slogan de campagne, même si elle n'a pas commencé : « Vive la France ». Du haut de « Borde Haute », son domicile, la France ondule sous la lumière d'automne. Rien ni personne n'empêche d'avoir des idées et des projets devant ce spectacle. « Il y a l'interpolation et la solution, et ça, c'est une révolution ! » A la fois bon philosophe et gentil philanthrope, le bonheur passe en premier pour lui et surtout par une autre idée pour diriger le pays : « Je pense que les gens ne voient pas les choses. Il faut les impliquer davantage dans leur vie quotidienne. » En clair ? « Le système actuel les fait passer à côté de leur vie. » Et dans les mesures phares, Alban n'a pas de doute : « Je privatise le modèle social national en le rendant international, et ce qu'il manque, c'est un service public et privé partenaire à 50 % et puis la retraite ne doit plus exister… Vous savez, le budget ça peut tout se simplifier, c'est mathématique ! » Ainsi assis sur ses convictions, Alban Haïc ira donc déposer les documents nécessaires auprès du Conseil Constitutionnel. Avec ou sans signature ?
M.B.


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