Pierre Simon trois axes majeurs : le développement local, la solidarité et une démocratie locale vivante !
Pierre Simon directeur de l’Anfopar de 1973 à 1980 |
Elle est désormais officielle, le candidat à la mairie l’ayant présentée, hier après-midi, en présence de Christian Adalbert (ancien adjoint), Fabienne Gaubert et Annie Houddek, « trois personnes investies depuis longtemps sur le plan associatif et qui veulent s’impliquer dans la vie municipale », selon les termes de Pierre Simon.
« Une liste ouverte »
Ce dernier a connu Monsempron-Libos en tant que directeur de l’Anfopar de 1973 à 1980, puis comme attaché parlementaire du député socialiste Marcel Garrouste durant deux années. Il est revenu définitivement dans la commune après avoir terminé sa carrière de directeur général adjoint du Conseil régional de Midi-Pyrénées. Historien, il est bien connu des amateurs de patrimoine pour les conférences qu’il donne régulièrement. Il est également président d’une association d’accueil et d’insertion.
La volonté de Pierre Simon, et de ses futurs partenaires, est basée sur trois axes majeurs : « le développement local, la solidarité et une démocratie locale vivante ». Sur le premier plan, Pierre Simon évoque « un développement qui allie commerçants et population pour maintenir la vie de Libos et, pour Monsempron, un aménagement concerté du bourg, de l’église et du prieuré ».
Le candidat parle également de la Communauté des communes, pilote en matière économique, à laquelle il reproche de faire « plus de spectaculaire que d’aide réelle au quotidien ». Sur la solidarité, les candidat (e) s insistent sur « la nécessité de travailler à une réelle mixité sociale, ainsi que de favoriser les liens entre générations ou communautés ». Pour ce qui est enfin de la démocratie locale, le candidat reproche aux sortants « une absence totale de concertation et d’information avant et pendant les travaux réalisés ». Il veut s’entourer pour cela « d’une équipe présente en permanence sur le terrain et ouverte au dialogue ».
La liste, qui ne sera connue que courant janvier, n’est pas bouclée : « elle est ouverte à ceux qui veulent venir débattre et construire ensemble un développement local, durable et solidaire », martèle le candidat.