Fumel
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Représentants communautaires, élus locaux, entreprises et société de pêche sur l'emplacement du chantier. /Photo DDM, Henry Marsat
Alors qu'une simple « cale » permet de mettre à l'eau une embarcation à Saint-Vite, la communauté de communes Fumel Communauté a décidé d'y créer une halte nautique paysagée avec un quai artificiel (du style « gabions » en pierre comme dans les giratoires sur la rocade), permettant l'amarrage de trois bateaux, sans oublier un ponton handi-pêche. Coût du projet : environ 185 000 € financés par l'Etat (25 %), la région (25 %), le département (25 %), Fumel Communauté (12,5 %) et la commune (12,5 %).
Quai d'accostage
Cela constituera un pied-à-terre pour les mariniers-touristes désireux d'aller visiter en détail, hors la voie fluviale, le pays fumélois, territoire dans lequel deux verrous, et non des moindres, bloquent de façon quasi-rédhibitoire, sauf à trouver la bagatelle de 20 millions d'euros pour acquérir et aménager le moulin à écluse « Poussou » à Saint-Vite mais aussi et surtout à équiper d'une écluse à bateaux le barrage de l'usine sur la rive gauche du Lot à Montayral.
Les précédentes études étant un peu vieillottes, il y a lieu de les refaire : les 300 000€ précédemment accordés par l'actuel Garde des Sceaux (ex-ministre de l'Aménagement du territoire) Michel Mercier n'y seront pas de trop.
A quand la fin du grand chantier de la traversée fluviale intégrale Est-Ouest de la commune de Fumel permettant la jonction navigable entre le Lot et le Lot-et-Garonne ?