Du raisin dans le carburant
Angers Loire Métropole teste l’utilisation d’un agrocarburant 2e
génération sur un bus de son réseau Irigo. Ainsi, un des véhicules de la
flotte, un bus Scania standard, roule 100% à l’éthanol à l’exception de
quelques additifs nécessaires au bon fonctionnement
du moteur
La coopérative recycle le marc de raisin en carburant.
La coopérative de Thouarcé veut donner une nouvelle vie aux résidus de la vigne. Elle distille le marc de raisins qui lui reste après les vinifications et fait de l'éthanol, agro carburant pour véhicule. Ce biocarburant «deuxième génération» est mis à disposition dans une citerne au dépôt de bus. Un plein suffit au bus pour assurer le service toute la journée, sans effet de rupture. Le bus éthanol est en exploitation sur une ligne régulière classique du réseau urbain,
équipée billettique et SAE (système d'aide à l'exploitation) et dont la livrée a été légèrement modifiée pour pouvoir être identifiable
(en particulier une estampille «Je roule à l'éthanol issu du marc de raisin !»). Pour l’instant le système semble bien fonctionner,
mais des conclusions ne pourront être tirées qu’après la fin du test, en décembre.
Cette énergie renouvelable locale, issue d’une filière non alimentaire émet 80% de CO2 en moins que le gazole. Ce test angevin doit donner un aperçu de la viabilité du système et vise surtout l’obtention d’une homologation et d’une fiscalité incitative de cet
éthanol (appelé «ED 95» ) par les pouvoirs publics.
Avec un tel carburant, les conducteurs seront incités de rouler avec modération !
A quand du ED 85 dans nos stations ?
du moteur
La coopérative recycle le marc de raisin en carburant.
La coopérative de Thouarcé veut donner une nouvelle vie aux résidus de la vigne. Elle distille le marc de raisins qui lui reste après les vinifications et fait de l'éthanol, agro carburant pour véhicule. Ce biocarburant «deuxième génération» est mis à disposition dans une citerne au dépôt de bus. Un plein suffit au bus pour assurer le service toute la journée, sans effet de rupture. Le bus éthanol est en exploitation sur une ligne régulière classique du réseau urbain,
équipée billettique et SAE (système d'aide à l'exploitation) et dont la livrée a été légèrement modifiée pour pouvoir être identifiable
(en particulier une estampille «Je roule à l'éthanol issu du marc de raisin !»). Pour l’instant le système semble bien fonctionner,
mais des conclusions ne pourront être tirées qu’après la fin du test, en décembre.
Cette énergie renouvelable locale, issue d’une filière non alimentaire émet 80% de CO2 en moins que le gazole. Ce test angevin doit donner un aperçu de la viabilité du système et vise surtout l’obtention d’une homologation et d’une fiscalité incitative de cet
éthanol (appelé «ED 95» ) par les pouvoirs publics.
Avec un tel carburant, les conducteurs seront incités de rouler avec modération !
A quand du ED 85 dans nos stations ?
